Clabecq et ses rails (Page 9/9).


La redescente!

Revenus au niveau du sommet du skip, profitons en pour faire encore une chouette photo.


Un trou très sympatique.

Quelques escaliers plus tard nous suffirons pour nous rendre au skip à hauteur des poulies de renvoi.


Le bas du haut-fourneau.

Une passerelle au dessus du vide nous amène a notre destination.


Le sommet du skip et le mécanisme de basculement des chariots bien visible ici.



Les deux chariots; Noter le bâtiment des mélanges qui a été démoli.



Les deux poulies de renvoi.



Un des cables s'en allant vers la machinerie que nous allons voir.


Le poste de commande.

Nous redescendons maintenant au premier étage.
Bien caché derriè une porte, voici la salle de contrôle du haut-fourneau; On réalise alors que c'est vraiment une installation complexe!
Voici trois vues de cette salle.


Au fond le tableau de commande des cowpers.


Vue prise dans l'autre sens


Synoptique de commande du skip.

La machinerie du skip.

Quelques volées d'escalier nous ramène au sol.
Observons maintenant la machinerie du skip.
De fait, c'est un énorme tambour ou - Quand cela fonctionnait - un cable se déroulait penant que l'autre s'enroulait.
A cela se rajoute, les réducteurs, les moteurs, les ventilateurs, les freins etc...


Le tambour, et derrière, le réducuteur petite vitesse, un des réducteurs grande vitesse, un des venlitateurs.
Non visible ici, les moteurs et les freins.


Vue opposée; Bien entendu, la lumière du jour provient des ouvertures par ou les cables sortent à l'air libre sans oublier l'énorme porte d'entrée.

L'avenir ?

Il ne faut pas se faire d'illusion, tout ce qui se trouve coté gauche du canal est stoppé pour toujours ou transformé en tas de gravats.
Ainsi s'efface le souvenir d'une usine qui a commencé son activité en 1752 (Première forge) et dont seul subsiste le train de laminoir moderne coté droit du canal Bruxelles-Charleroi.

Il était prévu de tout raser coté gauche du canal, mais entretemps les mentalités ont évoluées.
Esperons que les trois HF subsistent malgré tout même si aux yeux de certains travailleurs, cela leur rappellera des tristes souvenirs...

Le dernier mot :

Avant une derniere vue du haut-fourneau, je tiens a exprimer toute ma gratitude envers les établissements Duferco ainsi que les membres du personnel pour nous avoir permis de faire ce reportage.


Ambiance d'un soir...


Voilà qui conclu ces 9 pages qui je l'espère vous auront donné pleinement satisfaction!


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